Aujourd'hui Alger forme une importante agglomération

Alger, El-Djazaïr.
Le nom français, ALGER, tire son origine des premières
transcriptions de EL DJAZAIR par les navigateurs Catalan, pisans et génois qui commerçaient avec le pays. (lire la suite... )

Pour ceux qui désirent connaître la Capitale,
Nous vous proposons des photographies prisent sur le vif, sans commentaire.
Si vous reconnaissez le lieu, citez son nom (rue, quartier, plage, surnom, etc...) dans le formulaire commentaire de la photo.
mercredi 23 mai 2012

Mise en service du 2em tronçon du tramway d’Alger le 15 juin

La mise en service commerciale du deuxième tronçon du tramway d’Alger, reliant les Fusillés (centre-ville) à la cité Zerhouni Mokhtar (banlieue est), est prévue le 15 juin prochain, a annoncé mercredi le ministre des Transports, Amar Tou.


« L’exploitation commerciale du deuxième tronçon du tramway d’Alger aura lieu le 15 juin », a-t-il déclaré à la presse en marge d’une visite à la station multimodale des Fusillés pour s’enquérir du déroulement de la marche à blanc de cette deuxième tranche du tramway de la capitale.

Long de 9,1 km, ce deuxième tronçon du tramway d’Alger compte 16 stations dont deux stations multimodales (station regroupant : métro, tramway, train, taxis et bus) situées aux quartiers les Caroubiers et les Fusillés.

Une rame est prévue toutes les 7 minutes, selon les responsables du projet qui ont précisé que la circulation des rames commencera à 5h00 et prendra fin à 23h00.

Cette mise en service est précédée par plusieurs essais techniques et par une « marche à blanc » ( circulation permanente des rames sans voyageurs ), lancée début mars et qui se poursuivra jusqu’à la mi-juin. Le premier tronçon du tramway d’Alger, reliant Bordj El Kiffan à la cité Zerhouni Mokhtar, long de 7,2 km, a été mis en service en mai 2011.
[via]  algeriecity.com

Festival national de la création féminine :

Une nouvelle édition dédiée au patrimoine

C’est dans un décor de chapiteau et de voilages mauves, soutenu par des fibules avec des pierres bleues, une atmosphère toute en douceur qui prête à la discussion entre femmes sur tout ce qui s’apparente à de l’ornementation et enjolivement des intérieurs

que s’est déroulée lundi dernier la conférence de presse animée par Mme Hamida Agsous, commissaire du Festival, pour la présentation du programme de la troisième édition prévue du 23 au 30 mai 2012 et intitulée cette année « Atours de toujours ».


Le coup d’envoi de cette importante manifestation institutionnalisée depuis 2009, devrait en effet être donné aujourd’hui, à 18 heures, en présence de Mme Khalida Toumi, ministre de la Culture, au palais des Raïs (Bastion 23). Faisant la part belle à tout ce qui suppose la créativité, l’imagination et l’habileté légendaires des femmes dans la confection d’objets de décoration, de tenues vestimentaires traditionnelles richement brodées ou tissées avec un savoir-faire qui se transmet de génération en génération depuis des lustres, toute l’ingéniosité des femmes algériennes des quatre coins du pays à produire des matériaux faisant aujourd’hui partie du patrimoine pour mettre en valeur la beauté, la prestance et une esthétique qui se réfère souvent à travers les fêtes de mariage par exemple à des coutumes ancestrales, tout ce vaste domaine de prédilection des Algériennes sera encore une fois mis à l’honneur.

Le festival, qui entend promouvoir le talent souvent méconnu des créatrices à travers les œuvres qu’elles produisent chez elles ou dans des ateliers, voudrait à travers ses éditions appuyer leur insertion dans la production culturelle du pays en les impliquant davantage dans les échanges internationaux C’est dans un esprit de continuité

✰ les thèmes des trois éditions étant liés les uns aux autres ✰


qu’après la découverte de l’art du tissage et celui de la broderie que les organisateurs vont mettre en valeur la créativité féminine à travers les différents accessoires et ornements du costume et l’art très particulier du bijou, celui des coiffes, des sacs, des ceintures et des étoles, avec un programme qui s’étalera sur huit jours. Celles qui passent malgré le temps pour d’authentiques témoins du patrimoine national seront cette année au nombre de 35, venues de toutes les régions du pays, qui auront la possibilité et l’occasion inespérée de présenter leurs œuvres au public et de les offrir à l’achat, dans une ambiance festive et ce, avec la participation de créatrices venues d’Espagne et du Sénégal. Au programme de ce festival, quatre volets qui enrichiront la manifestation qui depuis son lancement commence à intéresser bon nombre d’Algéroises. Celui des expositions que nous évoquions précédemment, celui des ateliers qui seront animés tous les jours dans les patios du palais avec des démonstrations et des initiations aux différents arts pratiqués par nos créatrices, notamment à la bijouterie, la peinture sur soie, les tatouages au henné. Par ailleurs un cycle de conférences se tiendra avec les interventions des Algériennes Radia Drici, conservateur au Musée national des arts et traditions populaires sous l’intitulé :

✰ « Le châle, entre prestance et prestige » ✰


L’architecte et enseignante au département de Constantine, Mme Salima Mazri-Badjadja, animera quant à elle une conférence sur « L’habit, l’habitat : Une peau sensible ». Les spectacles ne seront pas en reste pour permettre au public de se divertir puisqu’il est prévu à cet effet un concert musical où la chanteuse Meriem Benallal et son orchestre se produiront ainsi qu’une soirée animée par la troupe Aissaoua de Constantine. A signaler dans ce programme une nouvelle activité qui réunira le public autour d’une qaâda sous le titre générique et évocateur « Haninaya » pour faire découvrir à ce dernier tous les détails du rituel du henné à travers cinq régions : Alger, Constantine, Tamanrasset, Tizi Ouzou et Tlemcen. Enfin un défilé de mode sous le slogan « Un éventail de talents » consacré aux accessoires du costume aura lieu au Palais de la Culture Moufdi- Zakaria.

[via]  Lynda Graba, elmoudjahid.com

mardi 22 mai 2012

L'Algérie comptait 37,1 millions d'habitants au 1er janvier 2012

a indiqué mardi l'Office national des statistiques (ONS), cité par l'agence de presse APS.

La population de l'Algérie devrait atteindre 37,8 millions d'habitants en janvier 2013, selon les projections de l'ONS.

Se basant sur l'accroissement naturel en 2011 de 748 000 personnes (2,03 %), la population résidente totale est estimée, au 1er janvier 2012, à 37,1 millions d'habitants, estime l'ONS. Le dernier recensement général effectué en avril 2008 indiquait une population de 34,8 millions d'habitants.

dimanche 6 mai 2012

les Algériens et La mode

La grande bataille des formes et des couleurs

Les Algériens sont de plus en plus soucieux de leur look. Ils soignent leur apparence et tentent de ne pas être en marge des grandes tendances mondiales en termes de couleurs, de découpes, de motifs et de designs.

De nos jours

le style et l’aspect extérieur sont devenus la préoccupation majeure de beaucoup d’Algériens qui vont jusqu’à faire des nouvelles créations des obsessions. Aujourd’hui, on ne s’habille plus en fonction de ses goûts, mais plutôt de la tendance. On tient absolument à être présentable, beau, sur son trente et un, sans pour autant s’éloigner des nouvelles exigences de la mode et des trouvailles des stylistes. L’habit ne fait pas le moine, mais les Algériens ne l’entendent pas de cette oreille. La plupart des Algériens, sont, en effet, très branchés et ne laissent point une occasion pour afficher leur péché mignon, voire leur passion de bien s’habiller et de paraître sous leur meilleur jour en exhibant leur sens élevé de marier les couleurs ou même de porte des accessoires de base, ainsi que leur coquetterie. Tenues top, lunettes de soleil dernier cri, coupes de cheveux de tout genre, sont désormais partie intégrante de notre vie de tous les jours.

La tentation du chic

parfois même «l’excentrique», s’empare d’un nombre important de jeunes hommes et de jeunes filles qui tiennent à tout prix à être très «fashion» pour épater les copains et les copines. Il faut dire que les magasins d’Alger et des grandes villes du pays offrent aux consommateurs des marques pour tous les goûts, mais pas forcément pour toutes les bourses. La tendance des Algériens à suivre la mode est une réalité. Il faut dire que la culture des défilés de mode fait son bonhomme de chemin, ces dernières années, chez nou, et la famille algérienne commence même à découvrir les podiums et le mannequinat, ainsi que les revues et magazines spécialisés de mode. Cet intérêt pour la mode est favorisé par l’ouverture de magasins sur la place d’Alger, représentant de grandes marques de vêtements, de montres, de parfums et de produits cosmétiques et de maquillage, de lunettes, de lingerie féminine et de sport qui deviennent la plaque tournante de femmes et d’hommes à la recherche de produits de qualité où tout simplement qui veulent être bien fringués quitte à débourser des sommes astronomiques. Aujourd’hui, le souci de bien apparaître passe aussi par la consécration d’un budget pour les besoins du look.

Les avis sur la mode divergent

Aussi, beaucoup d’Algériens n’hésitent pas à renouveler leur garde-robe, en fonction des saisons et des styles en vogue qui deviennent de véritables phénomènes de société. Parfois des habits qui ne cadrent nullement avec nos traditions, pour ne pas dire carrément indécents, font leur entrée dans notre société et attirent nos jeunes. Le dicton algérien « manges ce que tu aimes et habilles-toi comme aimeraient te voir les autres » s’applique, on ne peut mieux, au consommateur algérien qui tient à être à la page. En tout cas, c’est ce que dit Manel, qui affirme que depuis son jeune âge, elle suit la mode et tente de ne pas être en déphasage avec les tendances mondiales. « Je suis vraiment une fan de la mode », dit-elle. C’est ce que dit aussi Amine, qui estime que la mode, pour lui, fait ressortir le doigté des créateurs et des stylistes. « J’adore m’habiller dernier cri, car ceci me donne plus d’assurance ». Si Manel et Amine sont accros à la mode, ce n’est pas le cas de Mohamed, la soixantaine, qui estime que certains jeunes choquent carrément par leurs tenues vestimentaires. « Tout ce qui est répandu ailleurs ne doit pas être forcément bon pour nous », dit-il. Mais une chose es sûre : le phénomène est bien là, il suffit d’un simple coup d’œil, pour voir à quel point la mode exerce son magnétisme sur les jeunes et moins jeunes.

[via]  Samia D., elmoudjahid.com